Montségur 1244 – Faye must survive
Où comment pourrir la cause Cathare -
Prologue – Assassinat à Avignonet
Où on dévoie ce qui peut l'être et où débute la tragédie
Le cri d'un oiseau. (J)
Alors qu'on attends le signal du bailli d'Avignonet pour tomber sur ces sales Inquisiteurs, on apporte à Bernard de Saint-Martin un pigeon. Ce dernier ne porte ni bague ni message mais son aile abimée laisse présager les pires nouvelles. Les inquisiteurs de l'Eglise auraient -ils eu vent de l'opération ? L'affaire est porté devant Pierre-Roger de Mirepoix, défenseur de Montségur puis devant Raymond de Péreille, seigneur de Montségur. Ces derniers flairent le coup-fourré et décide de n'envoyer qu'un petit nombre d'homme pour accomplir la besogne.
Des chevaux dans la nuit. (Q)
Alors qu'une poignée d'hommes chevauchent dans la nuit, ils sont surpris par une troupe d'éclaireurs embusqués. Alors que Pierre-Roger fait mettre pied à terre pour se défendre à la faveur des étoiles, Bernard, espérant conjurer l'effet de surprise charge seul ! Ses forces décuplées par l'adrénaline, la tête d'un des éclaireurs se voit arraché par la violence du coup qu'il lui porte. Rejoint par Pierre-Roger et un homme d'arme, un deuxième éclaireur tombe. Trois fuient, un est capturé par ce cupide mercenaire de Garnier. L'interrogatoire, mené par Pierre-Roger et Garnier est rapide. L'homme un peu idiot, donne les informations sans le vouloir : les inquisiteurs sont au courant, ils ont déjà quitté Avignonet et passe la nuit dans un camp de fortune à quelques lieux. Les chevaliers de Montségur se mettent en route.
Le rire d'une femme. (M)
Ayant coupé par la forêt et éviter quelques loups méfiants, les forces de Montségur sont en vue du campement. Pierre-Roger envoie Bernard et deux hommes contourner le camp pour les encercler tandis que lui, Garnier et un autre prennent ce coté-ci. Il est convenu d'attendre un signal, un cri ou un autre truc du genre, qu'importe !
Quelques minutes passent au son des rires de catins et un homme sort des buissons. Même les inquisiteurs ont des besoins. N'écoutant que son courage, Bernard charge et lance son épée. Cette dernière, comme mue par sa volonté propre s'écrase prestement sur la boite crânienne de l'homme qui explose. Bernard, échaudé par la vision d'un homme au service de l'inquisition décide de lui faire subir les pires outrages. Dénudant le corps de l'homme afin que ce dernier serve de nourritures aux bêtes, il ne peut s’empêcher de lui planter une branche dans le fessier pour bien signifier quel est son sentiment à l'égard de cette engeance honni.
Le son de l'acier contre l'acier. (J)
Une heure avant cela, dans ce même campement, Arsène rencontrait Guillaume Arnaud, le tristement célèbre inquisiteur. Flattant ce dernier, Arsène se voit conduire loin des putains de bas étages afin de déguster un bon verre de Bordeaux. L'ambiance se détend, Guillaume en vient à raconter à la belle ses débuts dans l'inquisition, ses premiers buchers... Alors qu'ils se rapprochent, le comportement de l'homme change. Les récits de la catin semble avoir lever les inhibitions de l'homme d'Eglise qui rompt ses vœux et prend violemment Arsène.
De petits cliquetis métalliques se font entendre. Arsène fait de son mieux pour couvrir les bruits de ses cris de jouissance mais il devient bientôt évident que ça ferraille sec dehors ! Un homme s'écrase bientôt dans la tente, l'épaule percé par une flèche de Garnier.
L'odeur âpre des cheveux brulés. (Q)
Guillaume Arnaud se relève et veux saisir son épée mais Arsène est plus preste. D'un habile coup de dague, l'homme est châtré. Puis tailladée. Enfin, la chevelure de l'inquisiteur se retrouve à nourrir les flammes alors qu'Arsène s'empare des objets de valeurs.
Une fumée étouffante amenant aux larmes. (M)
A la mort de l'inquisiteur fait échos le râle de ses derniers fidèles, achevés par les hommes de Pierre-Roger. Un bucher est bientôt monté, les corps des malheureux y sont incinérés. Du camp ne reste bientôt plus rien. La confession d'un des hommes de Guillaume Arnaud confirme les soupçons de la petite troupe : l'inquisiteur était au courant de leur venue. Arsène confirme ces dires au grand dam de Bernard son amant qui se sent trahi par la catin. Pierre-Roger l’empêche néanmoins de châtier la putain : cette dernière serait la chose de Pierre-Roger dans cette affaire, qui plus est sa mission est couronnée de succès. Retour à Montségur.
Où comment pourrir la cause Cathare -
Prologue – Assassinat à Avignonet
Où on dévoie ce qui peut l'être et où débute la tragédie
Le cri d'un oiseau. (J)
Alors qu'on attends le signal du bailli d'Avignonet pour tomber sur ces sales Inquisiteurs, on apporte à Bernard de Saint-Martin un pigeon. Ce dernier ne porte ni bague ni message mais son aile abimée laisse présager les pires nouvelles. Les inquisiteurs de l'Eglise auraient -ils eu vent de l'opération ? L'affaire est porté devant Pierre-Roger de Mirepoix, défenseur de Montségur puis devant Raymond de Péreille, seigneur de Montségur. Ces derniers flairent le coup-fourré et décide de n'envoyer qu'un petit nombre d'homme pour accomplir la besogne.
Des chevaux dans la nuit. (Q)
Alors qu'une poignée d'hommes chevauchent dans la nuit, ils sont surpris par une troupe d'éclaireurs embusqués. Alors que Pierre-Roger fait mettre pied à terre pour se défendre à la faveur des étoiles, Bernard, espérant conjurer l'effet de surprise charge seul ! Ses forces décuplées par l'adrénaline, la tête d'un des éclaireurs se voit arraché par la violence du coup qu'il lui porte. Rejoint par Pierre-Roger et un homme d'arme, un deuxième éclaireur tombe. Trois fuient, un est capturé par ce cupide mercenaire de Garnier. L'interrogatoire, mené par Pierre-Roger et Garnier est rapide. L'homme un peu idiot, donne les informations sans le vouloir : les inquisiteurs sont au courant, ils ont déjà quitté Avignonet et passe la nuit dans un camp de fortune à quelques lieux. Les chevaliers de Montségur se mettent en route.
Le rire d'une femme. (M)
Ayant coupé par la forêt et éviter quelques loups méfiants, les forces de Montségur sont en vue du campement. Pierre-Roger envoie Bernard et deux hommes contourner le camp pour les encercler tandis que lui, Garnier et un autre prennent ce coté-ci. Il est convenu d'attendre un signal, un cri ou un autre truc du genre, qu'importe !
Quelques minutes passent au son des rires de catins et un homme sort des buissons. Même les inquisiteurs ont des besoins. N'écoutant que son courage, Bernard charge et lance son épée. Cette dernière, comme mue par sa volonté propre s'écrase prestement sur la boite crânienne de l'homme qui explose. Bernard, échaudé par la vision d'un homme au service de l'inquisition décide de lui faire subir les pires outrages. Dénudant le corps de l'homme afin que ce dernier serve de nourritures aux bêtes, il ne peut s’empêcher de lui planter une branche dans le fessier pour bien signifier quel est son sentiment à l'égard de cette engeance honni.
Le son de l'acier contre l'acier. (J)
Une heure avant cela, dans ce même campement, Arsène rencontrait Guillaume Arnaud, le tristement célèbre inquisiteur. Flattant ce dernier, Arsène se voit conduire loin des putains de bas étages afin de déguster un bon verre de Bordeaux. L'ambiance se détend, Guillaume en vient à raconter à la belle ses débuts dans l'inquisition, ses premiers buchers... Alors qu'ils se rapprochent, le comportement de l'homme change. Les récits de la catin semble avoir lever les inhibitions de l'homme d'Eglise qui rompt ses vœux et prend violemment Arsène.
De petits cliquetis métalliques se font entendre. Arsène fait de son mieux pour couvrir les bruits de ses cris de jouissance mais il devient bientôt évident que ça ferraille sec dehors ! Un homme s'écrase bientôt dans la tente, l'épaule percé par une flèche de Garnier.
L'odeur âpre des cheveux brulés. (Q)
Guillaume Arnaud se relève et veux saisir son épée mais Arsène est plus preste. D'un habile coup de dague, l'homme est châtré. Puis tailladée. Enfin, la chevelure de l'inquisiteur se retrouve à nourrir les flammes alors qu'Arsène s'empare des objets de valeurs.
Une fumée étouffante amenant aux larmes. (M)
A la mort de l'inquisiteur fait échos le râle de ses derniers fidèles, achevés par les hommes de Pierre-Roger. Un bucher est bientôt monté, les corps des malheureux y sont incinérés. Du camp ne reste bientôt plus rien. La confession d'un des hommes de Guillaume Arnaud confirme les soupçons de la petite troupe : l'inquisiteur était au courant de leur venue. Arsène confirme ces dires au grand dam de Bernard son amant qui se sent trahi par la catin. Pierre-Roger l’empêche néanmoins de châtier la putain : cette dernière serait la chose de Pierre-Roger dans cette affaire, qui plus est sa mission est couronnée de succès. Retour à Montségur.
Dernière édition par Hantei XX le Lun 19 Déc - 22:14, édité 1 fois